90 Ans: Troisième jour de la visite de la Mère à Kinshasa
- La rencontre avec les animatrices
- La messe avec le Nonce
- La rencontre avec les animatrices
La troisième journée en compagnie avec
la Mère générale s’ouvre avec les laudes dans la chapelle de communauté Saint
Joseph de Kinshasa. Elles ont été animées par les sœurs de la communauté avec
la participation des sœurs venues de Mbuji-Mayi et de Tolo. Avant la fin de la prière,
la mère bénit la nouvelle supérieure, Sœur Marie Christine De Lucia puis les
trois autres sœurs de la communauté en leur demandant de rester signe d’espérance
dans leur mission.
Le temps est vite passé, arrive le
moment de la célébration eucharistique présidée par le Nonce apostolique en RD
Congo Mgr Louis Mariano Montemayor. Dans son homélie, 33ème dimanche
nous indique que dans la page de l’Evangile d’aujourd’hui Jésus annonce la
ruine du temple puis il invite les disciples à ne pas avoir peur mais à
affronter les difficultés. Nous les sœurs nous devons aussi garder notre confiance
en Dieu, il nous invite par ailleurs les sœurs en ce dimanche charnière des
années liturgiques à revenir à notre premier amour, aux premières motivations
de sa consécration.
Avant la bénédiction finale la Mère
Yvonne remercie le Nonce apostolique d’avoir accepté de présider l’Eucharistie
pour nous malgré son agenda bien chargé.
Et pour les relations soignées avec les sœurs salésiennes de la RD
Congo. La mère l’invite chaque fois que cela est possible où qu’il se retrouve
à passer dans les communautés salésiennes.
Après la messe, le Nonce a accepté
de prendre des photos avec les sœurs et accepte de passer un temps bref avec
les animatrices de communauté. Après le diner et le repos les animatrices ont
poursuivi la rencontre avec la mère qui
riche des suggestions a laissé place à l’assemblée provinciale des sœurs. Avant la prière d’introduction une
sœur parle au nom de toutes invitant mère Mazzarello de nous parler comme elle
fait chaque moi. Quelle coïncidence nous sommes le 13 du mois.
La Mère dans son souci d’informer, de
former et de prévenir les sœurs nous a conduit à revisiter notre passion du Da
Mihi Animas. Tant de jeunes qui finissent les études chez nous sans s’être interroger
sur le projet de Dieu sur eux prouve que nous n’arrivons pas au bout de notre
mission. Chacune de nous doit être passionnée comme Don Bosco qui malgré tout
ce qu’il avait à faire à accompagner 2000 jeunes au séminaire. Les jeunes ont
besoin d’un accompagnement personnel. La mère félicite les sœurs car elles
soignent l’assistance.
Nous devons aussi aider les laïques à le faire. C’est une priorité le désir d’être fécondes. Qu’est ce que les jeunes connaissent de notre vie ? Ouvrons nos maisons aux jeunes
pour qu’elles nous voient prier, manger, rire, … Pas seulement à l’école, à la catéchèse. La Mère nous invite à avoir une ascèse sur la langue. Tout ce que l’on dit laisse une trace. Le témoignage de notre vie d’être des femmes de Dieu se laisse voir chez les jeunes. Une FMA ne doit jamais manquer l’espérance car elle est vouée à l’amour. Elle nous encourage à bien cultiver la vie chrétienne des jeunes. Il faut maintenir un bon niveau de formation chrétienne. Que nos jeunes catholiques à l’école même s’ils sont minoritaires puisse arriver à affirmer leur identité chrétienne. Les sectes emploient les mêmes mots que l’Eglise pour les avoir mais ce n’est pas vrai. C’est important de développer la vocation des salésiens coopérateurs et coopérateurs parmi les collaborateurs pour nous soutenir. Mais il faut proposer. La relation entre la communication et l’éducation est un aspect qui ne doit pas manquer dans notre éducation. Les former à un usage libre et critique de nouvelles technologies. Aider les jeunes à La Mère demande que le téléphone cellulaire soit fermé pas seulement mis sous silence pendant la prière, les moments communautaires. Ce dont on a besoin doit venir de la communauté et pas d’ailleurs. Ce que nous recevons est communautaire. Il ne faut pas qu’il y ait de différence entre nous. C’est important que les portables et les unités viennent de la communauté et pas d’ailleurs. La Mère encourage à être des femmes libres et non dépendantes.
Nous devons aussi aider les laïques à le faire. C’est une priorité le désir d’être fécondes. Qu’est ce que les jeunes connaissent de notre vie ? Ouvrons nos maisons aux jeunes
pour qu’elles nous voient prier, manger, rire, … Pas seulement à l’école, à la catéchèse. La Mère nous invite à avoir une ascèse sur la langue. Tout ce que l’on dit laisse une trace. Le témoignage de notre vie d’être des femmes de Dieu se laisse voir chez les jeunes. Une FMA ne doit jamais manquer l’espérance car elle est vouée à l’amour. Elle nous encourage à bien cultiver la vie chrétienne des jeunes. Il faut maintenir un bon niveau de formation chrétienne. Que nos jeunes catholiques à l’école même s’ils sont minoritaires puisse arriver à affirmer leur identité chrétienne. Les sectes emploient les mêmes mots que l’Eglise pour les avoir mais ce n’est pas vrai. C’est important de développer la vocation des salésiens coopérateurs et coopérateurs parmi les collaborateurs pour nous soutenir. Mais il faut proposer. La relation entre la communication et l’éducation est un aspect qui ne doit pas manquer dans notre éducation. Les former à un usage libre et critique de nouvelles technologies. Aider les jeunes à La Mère demande que le téléphone cellulaire soit fermé pas seulement mis sous silence pendant la prière, les moments communautaires. Ce dont on a besoin doit venir de la communauté et pas d’ailleurs. Ce que nous recevons est communautaire. Il ne faut pas qu’il y ait de différence entre nous. C’est important que les portables et les unités viennent de la communauté et pas d’ailleurs. La Mère encourage à être des femmes libres et non dépendantes.
Dans son mot du soir la Mère pour parler de
conversion a fait allusion à un arbre au Mali qu’on appelle étranger parce
qu’il n’est pas comme les autres. Elle avait vu un matin cet arbre laisser
tomber les feuilles. Une sœur lui fait remarquer que le soir cet arbre aura des
feuilles renouvelées. Effectivement cet arbre avait renouvelé ses feuilles.
Elle dégage une leçon en disant que si personne ne le lui avait pas fait
remarquer elle pouvait voir cet arbre midi et soir ce changement passerai
inaperçu, combien de fois il y a des changements qui s’opère en nous ou autour
de nous sans qu’on ne s’en aperçoive. La
sœur Marie Dominique remercie la Mère au nom de toutes les sœurs pour la
transformation qui s’est opérée en nous à son passage.
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